vendredi 27 juin 2008

LE TEMPS S ACCELERE

Vendredi 27 Juin

Nous partons pour Sydney cet apres midi jusqu a dimanche soir. Peter, le propietaire de la maison, arrivera pendant notre absence. Nous faisons un grand menage
pertube par les visites de personnes qui doivent partir elles aussi ce week end et qui savent que nous ne nous reverrons plus. Nous retrouvons ce sentiment bizarre que tous les enfants eprouvent a la fin des colonies de vacances. Ils pleurent parcequ ils quittent des amis et un lieu et sont a la fois heureux de rentrer chez eux. Faire le menage, preparer notre sac pour aller a Sydney, nous met deja dans l ambiance du depart definitif de Canberra. Nous y avons rencontre beaucoup de personnes adorables, mais nous sommes aussi excites par l ivresse de la decouverte d un nouveau lieu.
Decidement, il est difficile de prevoir le temps que prendra un deplacement dans ce pays. Les autoroutes se transforment en route normale sans prevenir, les limitations de vitesse changent sans arret, des feux rouges sur les autoroutes perturbent le trafic. Ils commencent meme a instaurer des peagess pour eviter les bouchons qui comme partout gagnent du terrain. Mais les peripheriques rallongent sacrement le trajet.
Partis a 3 heure de l apres midi de Canberra, nous sommes arrives a 8 heure a Woy Woyau noerd de Sydney soit 5 heures pour accomplir 360 km par l autoroute.
Nos amis nous attendaient avec un bon repas anime par le plaisir des retrouvailles. Nous ne trainons pas, car nous sommes fatigues et aussi parcequ ils nous proposent une promenade le lendemain matin, a 7h30, sur la plage.

1 commentaire:

Fabien a dit…

Blog très soigné, bravo!

Préparant actuellement un voyage en Australie pour le compte du média pour lequel je travaille - Radio Suisse Romande - , j'ai apprécié le regard à la fois curieux et pertinent porté sur Camberra et sa région (culture Aussie, aborigènes, sècheresse, système scolaire,...).

J'aurais plaisir à discuter de votre expérience australienne et souhaiterais vous demander conseil.

Bien à vous.

Fabien Hünenberger