lundi 11 août 2008

RETOUR A TAHITI

Samedi 9 Aout

Ce matin nous prenons l avion pour retourner a Tahiti.

Apres une escale a Huahine, nous retrouvons, au parking de l aeroport, notre vieille visa que nos amis nous ont prete. Elle rend service a tout le monde car Papara est a 40 Km de Papeete. Demain ils la vendront a leur jardinier.
Nous arrivons a la maison il n y a personne. Nous nous posons. Damien et Odile sont partis se promener avec leur famille qui est venu de metropole. Ici, il a toujours du monde pour vous rendre visite. Chacun profite de la chance et de l opportunite d avoir un ami ou de la famille a Tahiti pour decouvrir le mythe: ce coin perdu et inaccessible du Pacifique. Pourrons nous y revenir un jour? En tout cas si vous venez pensez a prendre un pass pour les Marquises et les Touamotu et pourquoi pas l ile de Paques. Organisez le tout en une seule fois. Prevoyez longtemps a l avance, sans cela vous n irez jamais a l ile de Paques. Nous avons le mode d emploi aujourd hui, a nous d en profiter plus tard peut etre? Deja nous replongeons dans nos reves...
Lessives, sieste le soir nous ne tenons plus: nous retournons a la plage pour un dernier coucher de soleil, un dernier show offert par les surfeurs.

Nous avons egalement eu droit a un kayakeur surfant les vagues. Je savais que cela existait mais n en avais jamais vu a l oeuvre. Il vaut mieux etre large d epaule et bien entraine. Chrystele a apprecie la performance la coquine...


Nous retrouvons nos amis qui sont rentres entre temps. Nous partageons un bon plat bien de chez nous: un excellent boeuf carotte. Y a pas a dire, le poisson a la tahitienne c est superbe mais un boeuf carotte apres 3 mois de disette de cuisine du terroir, somme toute,c est pas mal aussi.
Cette derniere nuit polynesienne sera tres romantique:
Comme la maison est pleine, nous dormirons a l abri du fare, en plein air, au bord de la riviere.

Le bruit sourd de de l ocean tout proche, apporte par la brise, melange au roulement des eaux du torrent n auront pas besoin de nous bercer longtemps pour nous aider a trouver le sommeil qui nous manque. Pour une fois, les hurlements des chiens et les chants de coqs qui s appellent et se repondent perpetuellement au loin dans la vallee profonde, n auront pas raison de nos songes.

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