Hier, la conversation avec Steven ayant duree plus longtemps que prevu, nous n avons pas pu faire le tour initialement programme. Nous repartons donc par de nouveaux chemins. On a pas du tout l impression d etre en ville. Les rues sont desertes dans les quartiers residentiels.

Les artisans que nous croisons nous saluent poliment. Les nombreuses ambassades devant les quelles nous passons ont portes ouvertes et aucun gardien a l horizon.

Etrange pays. Les australiens participent a la guerre en Irak mais leurs batiments officiels ne sont apparement pas plus surveilles qu une prefecture de province.
Apres le classique tour du lac pour y contempler les cygnes,
les herons,

et autres canards,

nous remontons au parlement que nous decidons de visiter.

Tous les parlements se ressemblent. Leurs occupants ont bien compris l interet qu il y a, a travailler dans les meilleures conditions possibles. Rien n y manque: cafetaria, bibliotheques, salles de repos, plus tout ce que l on ne voit pas, jusqu a une nurserie garderie pour les femmes deputes et meres de famille qui sont largement representees.
Tous les pays du monde devraient voter des lois garantissant, a tous leurs citoyens, une qualite de travail egale a celle que les deputes s accordent a eux memes. Nous croisons un jeune parlementaire qui est tres fier de constater que des francais s interessent a son pays.
Il est tellement heureux qu il presentera Elisabeth a Chrystele.

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